le lac (escargots, zooplancton, herbiers, phytoplancton...) et les postes sont
nombreux et variés (90% du lac est encoest le 2e fleuve marocain en termes de longueur. Il prend sa source à une altitude de 1240 m dans le Moyen Atlas à 40 km de la ville de khenifra et à 26 km de la ville de Mrirt commune rurale d'Oum Errabia et se jette dans l'Océan Atlantique au niveau de la commune d'Azmour.
Au cœur du Moyen-Atlas se dresse un ruisseau d’eau pure et fraîche. Tantôt bleuâtre au contact du ciel, tantôt verdâtre au reflet des vergers, ce cours d’eau est considéré comme l’une des premières sources hydrauliques du Maroc. À une altitude de 1.240 mètres, une multitude de sources jaillissent, bouillonnent et murmurent. Il s’agit du site pittoresque «Oyoun Oum Errabiaa» où fusionne une quarantaine de sources douces et salées pour verser directement dans le fleuve d’Oum Errabiaa sur un parcours de plus de 600 mètres. Entourée des blocs de calcaires et falaises ocres, la force du débit des eaux attribue une fraîcheur sur le lieu.
Le chant des rives, le claquement des roches et le gazouillement des oiseaux tissent, quant à eux, une tendre . «A chaque visite d’Ifrane, nous tenons à visiter les sources d’Oum Errabiaa. Je viens passer la journée avec la famille et faire découvrir à mes enfants la beauté de notre Maroc», explique Nabil. Si ce père de famille est un habitué des lieux, d’autres savourent, pour la première fois, sa découverte. «J’hésitais au début entre un après midi de ski à Michlifen ou bien la visite des sources. À vrai dire, j’ai été surprise par la particularité de cet endroit. Ce mélange de cascades, de rivières et de verdure est singulier. Je ne regrette pas cette visite. J’aurais aimé avoir assez de temps pour pouvoir y revenir. Je vous assure que je reviendrai le plus souvent. Un tel décor ne doit pas être oublié», nous confie Madiha, une jeune étudiante à Casablanca. En effet, cette perle, qui brille au sein des chênes et des cèdres, vient concurrencer les célèbres sites touristiques marocains. Itto, une trentenaire, nous dévoile un aspect de son quotidien dans les sources d’Oum Errabiaa. «Le site connaît une dynamique en printemps et été. Les gens fuient le climat sec pour venir se rafraîchir aux sources», indique -t-elle. Et d’ajouter que «l’activité agraire dans les environs est un peu médiocre ainsi la majorité des habitants misent sur les ressources touristiques». Malgré les contraintes quotidiennes dont ils souffrent, la générosité des villageois ne vous laisse pas indifférents. Au bord des rives, les habitants de la région ont construit de petits gîtes d’une part pour la détente et de l’autre pour alimenter un peu leur bourse. D’une fine simplicité, des huttes sont aménagées. Équipées de tapis et de coussins berbères, elles offrent une vue panoramique sur les luisantes chutes d’eau. «Nous louons ces espaces à des prix abordables. Les visiteurs peuvent, ainsi, jouir d’un moment agréable «pied dans l’eau». Cela permet une évasion de la tension du quotidien sans oublier que nos eaux ont d’innombrables vertus», souligne Ali, propriétaire de quelques gîtes du site touristique. Au service, des verres de thé et de délicieuLa nourriture abonde dans
le lac (escargots, zooplancton, herbiers, phytoplancton...) et les postes sont
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