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Lac tigulmamine

Lac tiglmamin :
Tiglmamine ou Tiguelmamine,

rnier aux sources de l’Oum Er-Rebia.La province de Khenifra a toujours été considérée comme un véritable château d’eau du Maroc .En effet, les plus importants fleuves du pays y prennent naissance, notamment Oum Er-Rebia et ses affluents Chtouka et Srou, Oued Moulouya et son affluent Ansguemir, Oued Grou, affluent de Bouregreg, Oued Ksiksou et Oued Boukhmira.Le climat de cette région se caractérise par sa continentalité qui influe sur mes amplitudes thermiques saisonnières, voir même journalières . A un hiver rigoureux, succède un été chaud . La pluviométrie varie selon les régions entre 400 et 700 mm/an en moyenne . Les précipitations, en hiver sous forme de neige, sont abondants sur le plateau de Bekrite, le col du zad et le Haut Atlas. La combinaison de la température et la pluviométrie est de nature à créer des conditions favorables à des ceintures de végétation : ainsi, on verra se succéder altitudinalement, des forêts 

 diminutif du mot berbère « Aguelmame » qui signifie « lac », est situé à 40 kilomètres de Khénifra au cœur du Moyen Atlas, au Maroc, à 1630m d'altitude et de profondeur de 20m. Le site est classé patrimoine national :



Le lac se situe dans l'aire géographique de la tribue Zayanes des Ait Boumzil et d'Ait Maii. Cet étang naturel se trouve au milieu d'une vaste dépression à fond plat

rnier aux sources de l’Oum Er-Rebia.La province de Khenifra a toujours été considérée comme un véritable château d’eau du Maroc .En effet, les plus importants fleuves du pays y prennent naissance, notamment Oum Er-Rebia et ses affluents Chtouka et Srou, Oued Moulouya et son affluent Ansguemir, Oued Grou, affluent de Bouregreg, Oued Ksiksou et Oued Boukhmira.Le climat de cette région se caractérise par sa continentalité qui influe sur mes amplitudes thermiques saisonnières, voir même journalières . A un hiver rigoureux, succède un été chaud . La pluviométrie varie selon les régions entre 400 et 700 mm/an en moyenne . Les précipitations, en hiver sous forme de neige, sont abondants sur le plateau de Bekrite, le col du zad et le Haut Atlas. La combinaison de la température et la pluviométrie est de nature à créer des conditions favorables à des ceintures de végétation : ainsi, on verra se succéder altitudinalement, des forêts 

, couverte de basaltes et de dépôts fins. Une large pelouse s'étend sur la plaine située au Sud et à l'Est du lac.
Faune invertébrée très abondante (surtout les vers, les insectes et les crustacés, etc.), et bien diversifiée, mais sans espèce particulière sur le plan biogéographique.
Deux espèces de poissons ont été introduites avant le classement du site dans la liste « RAMSAR » : la tanche, le gardon et le brochet, ce dernier étant encore entretenu (par déversement d'alevins). Comme herpétofaune, citons la couleuvre vipérine (sujet de grande taille collecté) et la forte abondance de grenouilles.

rnier aux sources de l’Oum Er-Rebia.La province de Khenifra a toujours été considérée comme un véritable château d’eau du Maroc .En effet, les plus importants fleuves du pays y prennent naissance, notamment Oum Er-Rebia et ses affluents Chtouka et Srou, Oued Moulouya et son affluent Ansguemir, Oued Grou, affluent de Bouregreg, Oued Ksiksou et Oued Boukhmira.Le climat de cette région se caractérise par sa continentalité qui influe sur mes amplitudes thermiques saisonnières, voir même journalières . A un hiver rigoureux, succède un été chaud . La pluviométrie varie selon les régions entre 400 et 700 mm/an en moyenne . Les précipitations, en hiver sous forme de neige, sont abondants sur le plateau de Bekrite, le col du zad et le Haut Atlas. La combinaison de la température et la pluviométrie est de nature à créer des conditions favorables à des ceintures de végétation : ainsi, on verra se succéder altitudinalement, des forêts 

Les oiseaux donnent à cet étang un certain intérêt qui encourage à le maintenir comme site RAMSAR. Les dernières visites y ont montré au moins dix espèces estivantes : le Colvert (<200), le Casarca (<30), la Foulque macroule (>500), la Foulque à crête (>4), le Grèbe castagneux (>70) et le Grèbe à cou noir (2-4 indi.) sont nicheurs, alors que certains échassiers (Cigogne blanche, Echasse, Héron cendré... y trouvent une nourriture abondante. Signalons enfin la présence cet été de l'Ibis chauve (un individu se nourrissant sur le bord, puis sur un îlot).
C'est pratiquement le site moyen-atlasique le plus important pour l'hivernage d'oiseaux d'eau, malgré l'effectif relativement faible qu'il héberge (comparé aux autres sites RAMSAR du Maroc). 26 espèces y ont été notées et l'effectif maximum absolu enregistré est de 4700 oiseaux, essentiellement des ansériformes, avec des pics de 3000 siffleurs, 900 milouins, 400 casarcas et 300 chipeaux, sans oublier le colvert, le souchet, le morillon, le pilet, etc. Les deux espèces de foulques y sont régulières, totalisant plus du millier, dont quelque 10-20 foulques à crête. Parmi les grèbes, le castagneux et le G. à cou noir enregistrent 40-60 individus chacun. Les échassiers sont relativement peu abondants, bien que plusieurs espèces ont été observées.


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