La ville de khénifra: Située au sud des régions précédentes, la province de khenifra s’intègre à la fois dans le Haut Atlas et le plateau central, ce qui explique son relief accidenté où altèrent la montagne et les plateaux dont l’altitude est variable. biotopes. Les massifs montagneux présentent des curiosités géologiques etLa création des sites SIBE et parcs nationaux :(Parc national de Tazekka et leParc national d'Ifrane et sites RAMSAR)est la préoccupation majeure du gouvernement et des ONG soucieux de la protection de ce patrimoine qui risque de disparaître un jour sous diverses pressions à savoir : la dynamique humaine, le surpâturage, l'exploitation abusive de la forêt et enfin la sécheresse.
Le Moyen Atlas abrite une grande superficie de forêts de cèdres et de chênes verts, de nombreux lacs et rivières, vallées et sommets préservés, une variété de zones bioclimatiques qui abritent une prodigieuse biodiversité et une richesse floristique et faunistique.
La composante humaine du Moyen Atlas et de culure Amazigh, composée essentiellement de grandes conféderations Amazighe : les Zayanes, Aît Youssi, Aît sgougou, Aît M’Guildet Beni M'tir, Ait Seghrouchen, les tribus d'Immouzer Marmoucha etc, ces éthnies façonnées par la topographie et vivant essentiellement de l’élevage par le jeu d’une transhumance de moyenne amplitude entre le djebel
La partie centrale de la province, qui correspond administrativement au cercle d’El Kbab, n’est autre qu’une vec une légère avancée sur le Moyen Atlas grossièrement limitée par l’Oued Srou et la ligne de crêtes joignant ce dernier aux sources de l’Oum Er-Rebia.La province de Khenifra a toujours été considérée comme un véritable château d’eau du Maroc .En effet, les plus importants fleuves du pays y prennent naissance, notamment Oum Er-Rebia et ses affluents Chtouka et Srou, Oued Moulouya et son affluent Ansguemir, Oued Grou, affluent de Bouregreg, Oued Ksiksou et Oued Boukhmira.Le climat de cette région se caractérise par sa continentalité qui influe sur mes amplitudes thermiques saisonnières, voir même journalières . A un hiver rigoureux, succède un été chaud . La pluviométrie varie selon les régions entre 400 et 700 mm/an en moyenne . Les précipitations, en hiver sous forme de neige, sont abondants sur le plateau de Bekrite, le col du zad et le Haut Atlas.
La combinaison de la température et la pluviométrie est de nature à créer des conditions favorables à des ceintures de végétation : ainsi, on verra se succéder altitudinalement, des forêts de Kharroubier, chênes verts, et cèdres. Jouissant de cet environnement naturel favorable et de par sa situation géographie, la province de Khénifra a des potentialités naturelles énormes lui permettant d’être un pôle d’attraction pour les amateurs de tourisme de montagne (randonneurs, chasseurs et pêcheurs…). Il s’agit, en particulier, biotopes. Les massifs montagneux présentent des curiosités géologiques etLa création des sites SIBE et parcs nationaux :(Parc national de Tazekka et leParc national d'Ifrane et sites RAMSAR)est la préoccupation majeure du gouvernement et des ONG soucieux de la protection de ce patrimoine qui risque de disparaître un jour sous diverses pressions à savoir : la dynamique humaine, le surpâturage, l'exploitation abusive de la forêt et enfin la sécheresse.
Le Moyen Atlas abrite une grande superficie de forêts de cèdres et de chênes verts, de nombreux lacs et rivières, vallées et sommets préservés, une variété de zones bioclimatiques qui abritent une prodigieuse biodiversité et une richesse floristique et faunistique.
La composante humaine du Moyen Atlas et de culure Amazigh, composée essentiellement de grandes conféderations Amazighe : les Zayanes, Aît Youssi, Aît sgougou, Aît M’Guildet Beni M'tir, Ait Seghrouchen, les tribus d'Immouzer Marmoucha etc, ces éthnies façonnées par la topographie et vivant essentiellement de l’élevage par le jeu d’une transhumance de moyenne amplitude entre le djebel et Miaâmmi.Une faune cynégétique importante et diversifiée participe, également, à la richesse de cette région. Elle a permis, d’une part, de créer une vingtaine d’amodiations de droit de chasse (les espèces les plus fréquentes sont : le sanglier, le perdreau, le lièvre, la palombe, le chacal et le renard), d’autre part, et dans le souci de sauvegarder le mouflon qui constitue une espèce rare et particuliére à la régio
Le Moyen Atlas abrite une grande superficie de forêts de cèdres et de chênes verts, de nombreux lacs et rivières, vallées et sommets préservés, une variété de zones bioclimatiques qui abritent une prodigieuse biodiversité et une richesse floristique et faunistique.
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